source: Allociné
Le mardi soir, c'est souvent mardi cinéma (merci les cinéday d'orange). j'ai donc été y faire un tour hier soir, car je savais que le film Bridget Jones Baby était sorti, et j'avais envie d'aller le voir avec des copines. Ni une, ni deux, nous voilà installées dans la -trop- petite salle bien remplie du cinéma du coin. Ce que je déteste au cinéma ? Ces pubs bien trop longues, que l'on revoit à la télé en rentrant chez nous. Les voilà passées et le film commence..
On retrouve une Renée Zellweger tirée au botox, ce qui m'a rendue un peu triste, je l'avoue. On ne peut ressentir qu'un petit plaisir à l'idée de retrouver notre Bridget, ses histoires d'amour -un peu- bancales, et surtout ses bêtises en cascade... Qu'on se le dise, la salle entière a rit du début à la fin, et je trouve que l'on passe du rire aux larmes assez rapidement. Enfin, aux larmes.. Des petites larmes aux yeux, c'est souvent plus émotif que triste.
Bridget Jones est toujours décalée, un peu fofolle, et s'embarque seule dans des problèmes plus que conséquents. On retrouve son grand amour, Mark Darcy, et on découvre un nouveau prétendant, Jack, campé par Patrick Dempsey. C'est une nouvelle Bridget que nous avons là : elle ne fume plus, elle a perdu pas mal de kilos, et elle souffle ses 43 bougies.. Par contre, elle écrit toujours son journal intime, bien entendu.
Le topo du film ? Bridget s'amuse un peu lors d'un festival, passe la nuit avec Jack, et, quelques jours plus tard, renoue le temps d'une nuit avec son amour de toujours. Malheureusement, elle tombe enceinte. Pourquoi malheureusement ? Elle ne sait pas qui peut être le père, et le seul moment où elle pourra l'apprendre, ce sera lors de l'accouchement. Vous le devinez, 9 mois de questions, de doutes, et surtout de duel amoureux entre Darcy et Jack se présentent.
Si vous voulez savoir lequel des deux elle choisira, et lequel des deux est le père de l'enfant... Filez au cinéma ! Je vous promets que vous ne le regretterez pas, j'ai rarement autant rit devant un film. C'est un rire facile, spontané.. C'est vraiment un bon moment passé, deux heures qui filent.
On retrouve une Renée Zellweger tirée au botox, ce qui m'a rendue un peu triste, je l'avoue. On ne peut ressentir qu'un petit plaisir à l'idée de retrouver notre Bridget, ses histoires d'amour -un peu- bancales, et surtout ses bêtises en cascade... Qu'on se le dise, la salle entière a rit du début à la fin, et je trouve que l'on passe du rire aux larmes assez rapidement. Enfin, aux larmes.. Des petites larmes aux yeux, c'est souvent plus émotif que triste.
Bridget Jones est toujours décalée, un peu fofolle, et s'embarque seule dans des problèmes plus que conséquents. On retrouve son grand amour, Mark Darcy, et on découvre un nouveau prétendant, Jack, campé par Patrick Dempsey. C'est une nouvelle Bridget que nous avons là : elle ne fume plus, elle a perdu pas mal de kilos, et elle souffle ses 43 bougies.. Par contre, elle écrit toujours son journal intime, bien entendu.
Le topo du film ? Bridget s'amuse un peu lors d'un festival, passe la nuit avec Jack, et, quelques jours plus tard, renoue le temps d'une nuit avec son amour de toujours. Malheureusement, elle tombe enceinte. Pourquoi malheureusement ? Elle ne sait pas qui peut être le père, et le seul moment où elle pourra l'apprendre, ce sera lors de l'accouchement. Vous le devinez, 9 mois de questions, de doutes, et surtout de duel amoureux entre Darcy et Jack se présentent.
Si vous voulez savoir lequel des deux elle choisira, et lequel des deux est le père de l'enfant... Filez au cinéma ! Je vous promets que vous ne le regretterez pas, j'ai rarement autant rit devant un film. C'est un rire facile, spontané.. C'est vraiment un bon moment passé, deux heures qui filent.
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